La délégation Renaissance soutient pleinement la résolution ambitieuse adoptée aujourd’hui en séance plénière du Parlement européen sur l’action européenne coordonnée pour lutter contre la pandémie du COVID-19 et ses conséquences.
Cette résolution est le fruit d’un travail de fond mené par les différents groupes politiques européens auquel les députés Renaissance ont pleinement participé avec leur groupe Renew Europe. Nous avons notamment réussi à réunir autour de nos propositions des eurodéputés de tous les groupes politiques pro-européens et de toutes nationalités.
La force européenne de santé, les recovery bonds pour investir dans une relance compatible avec le Green deal, le lancement d’une Conférence pour l’Europe ainsi que la condamnation de la dérive autoritaire de la Hongrie ont aujourd’hui une majorité au Parlement européen.
« Nous représentons une centaine de partis politiques à travers l’Europe, nous sommes le peuple européen et nous avons trouvé un accord. » a déclaré Stéphane Séjourné , Président de la délégation, dans l’hémicycle, « Le Conseil européen est à contre-courant d’une opinion publique européenne qui est d’accord sur les grands principes du monde d’après. (…) Mesdames et messieurs les chefs d’état et de gouvernement : vous cherchez un accord ? Ne cherchez pas plus loin. Cet accord réunit l’ambition et la responsabilité, l’efficacité et la démocratie, nos valeurs et nos intérêts. Écoutez ce Parlement, écoutez les européens ! »
Pour mémoire, de nombreuses propositions portées par la délégation ont été adoptées par une large majorité de parlementaires européens :
Sur la réponse sanitaire :
Sur la réponse économique et la relance européenne :
Sur les libertés et la démocratie en Europe :
Le délégation Renaissance salue également l’inclusion d’un volet sur l’action extérieure et la solidarité internationale pour garantir l’accès aux produits médicaux de première nécessité pour les pays en voie de développement et demande le renforcement l’OMS.
Enfin, la délégation souscrit pleinement à la demande que la Chine soit plus transparente sur les débuts de l’épidémie et le nombre exact de décès et sur la nécessité d’une meilleure communication de l’Europe sur son assistance aux pays tiers.